jeudi 13 juin 2013

Patrice Verdi Juste.


Patrice VERDI dont la vie est menacé actuellement et la famille harcelée et terrorisée est un citoyen et un policier qui mérite toute notre reconnaissance d’avoir fait son travail cette journée d’été 2001 où tous ses ennuis ont commencé. Il aurait pu faire comme la plupart des personnes qui face à ce genre d’affaires font les autruches et ont peur mais il ne pouvait pas fermer les yeux sur des faits allégués de pédophilie sur une enfant de 7 ans. Il a fait le choix d’assumer la difficulté de son travail qui consiste à prendre les plaintes et à les faire suivre pour enquête même si elles concernent des personnes clamant avoir des relations en haut lieu.


Tout comme Marcel VERVLOESEM en Belgique il a pensé d’abord à cette petite fille en danger et pas à lui-même ni à ce qu’il risquait en le faisant. Sa vie s’est transformé en enfer depuis, y entraînant sa famille. Il n’est pas un jour où il soit épargné de toutes sortes d’intimidations, menaces sur sa vie et celles des siens, cabales judiciaires, économiques, administratives et de santé. On constate que le schéma est toujours et invariablement le même pour tous les témoins des réseaux pédocriminels.

Et pour cela il mérite notre immense respect et notre soutien. Il a appelé à l’aide toutes les instances de ce beau pays et comme pour Marcel Vervloesem en Belgique le silence est assourdissant de la part des élus, des institutions, des médias. Rien ne pourra changer tant que les citoyens ne demanderont pas de comptes à la nation sur les traitements inhumains auxquels sont soumis ces hommes et sur le règlement des affaires pour lesquelles ils sont harcelés.

Un matin de l’été 2001, une jeune fille arriva en larmes au Poste de Police Municipale du Quai ST Pierre à Cannes. Elle était suivie d’un bourgeois, qui se précipite sur elle et hurle:- Ne l’écoutez pas, c’est une menteuse, une folle.

Le Brigadier Chef Patrice VERDI s’interposa vivement, faisant remarquer que la jeune fille n’avait pas eut le temps de dire un seul mot. le Gardien Principal *CHARLIE qui était présent, tentait également de calmer le bourgeois, qui répétait qu’elle était folle, paresseuse et inapte au travail. Elle voulait simplement récupérer ses affaires personnelles chez cet homme, où les Orphelins d’Auteuil, noble institution française, l’avait placée comme fille au pair.

Ils prirent un véhicule de service vers l’un plus des plus beaux quartiers de Cannes. La maison était immense. Le Brigadier Chef VERDI accompagna la jeune fille pour qu’elle rassemble ses affaires. Elle s’effondra dans sa chambre. Elle parla de la fille de 7 ans du couple, qui lui permettait de déjeuner complètement nue avec des personnalités locales. Ce n’était pas un étrange jeu d’enfant. Elle simulait aussi des masturbations, parlait de pornographie et d’un placard avec une collection des films particuliers. Étrangement, le bourgeois régla trois fois le montant de sa dette à la jeune fille et menaça l’officier :- Je suis un ami du Maire, je vais te casser.

De retour au Commissariat Central, l’Officier de Police Judiciaire de permanence auditionna la jeune fille. Il revint une heure plus tard et dit au Brigadier Chef VERDI :- « On est dans la merde, c’est certainement une affaire de pédophilie, il faut faire très attention, on risque de sauter. » *CHARLIE eut une telle frousse qu’il décida de ne pas signer le rapport de mission, et assura avoir quitté le service à 13h00.

Le lendemain, le Brigadier Chef VERDI fut avisé qu’il réglerait désormais la circulation, rue d’Antibes, ce qui interrompait sans motif légitime, l’ascension d’une carrière pavée de félicitations. Quelques semaines plus tard, il fut accusé d’une escroquerie sans queue ni tête. Il a été mis en garde à vue, menotté comme un terroriste, au point où un médecin exigea que les menottes soient desserrées. Le Lieutenant *BRAVO lui demanda alors:- Au fait, vous avez des nouvelles de la jeune fille d'Auteuil ?

Le commissaire principal *FOXTROT, qui était présent, est devenu rouge vif. Il foudroya du regard le lieutenant, qui quitta la pièce sur le champ. Rien n’avait jusqu'alors  permis de suspecter que le mobbing récent était lié à une enfant de 7 ans, qui simulait des masturbations, et dont le père a dit au premier policier qui en a été avisé:- Je suis un ami du Maire, je vais te casser.

Le Brigadier Chef VERDI a été incarcéré durant 44 jours en Haute Sécurité. Il a partagé sa cellule avec un policier de la brigade des stupéfiants, lui aussi accusé d’escroquerie, alors qu’il rédigeait un rapport destiné à l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), sur les conventions entre le commissaire *FOXTROT et Mr *ALPHA, heureux propriétaire d’une plage surnommée la lessiveuse en référence à un trafic de drogue, qui est aussi un collaborateur du maire !

En France, l’élimination par montages judiciaires est une pratique si courante, qu’un tribunal peut même dégommer un adversaire politique. Même l’ancien Maire de Cannes a été éliminé ainsi, après avoir été réélu malgré une condamnation pour corruption qui n’avait manifestement pas convaincu ses électeurs. Il fut quasi immédiatement après, objet de nouvelles accusations suivies de 15 mois de détention préventive, ainsi que de 8 ans et 7 mois de manoeuvres dilatoires pour le juger, alors que le droit international spécifie que le délai ne peut pas dépasser 8 ans. Comme il était toujours aussi populaire, il a été condamné à six ans de prison ferme, assortie d’une interdiction de se représenter aux élections avant 2010.

Les médias français n’ont pas noté que les magistrats en charge du dossier auraient du savoir qu’ils ruinaient la carrière d’un présumé innocent, par la violation du droit international. Cet ancien Maire de Cannes a été incarcéré durant 4 ans, ce qui démontre que l’Europe est incapable d’assurer le respect de ses lois, même concernant des personnalités.

Rien d’étonnant dés lors, que les médias français n’ont pas cru de leur devoir d’informer les électeurs des troubles penchants des amis du nouveau maire de Cannes, ou sur le sort des policiers, anéantis pour avoir fait leur devoir. Au résultat, les meilleurs éléments de la police française rejoignent la lutte civile contre les réseaux, avec des informations inouïes !

(*) Les noms précédés d’un * ont été changés.

Jacqueline de Croÿ – 3 septembre 2009

source:
http://fondationprincessedecroy.morkhoven.org/001-Secrets_du_commissariat_de_Cannes_1___fr.htm



LETTRE AUX ELUS LOCAUX PAR Mr VERDI


Mr VERDI Patrice


C/O Mr VERDI Marcel


34 rue rené dunan


06150 CANNES LA BOCCA


Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 18/03/09


à



Mesdames ou Messieurs les élus locaux,


J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous signaler certains faits très graves pour ne pas dire inadmissibles qui vous prouveront que nous ne vivons plus en démocratie et qu’une cabale politique s’abat depuis 2001 sur ma personne ainsi que sur l’ensemble de ma famille afin de nous déstabiliser et de nous détruire socialement.


Fonctionnaire de Police Municipale depuis mai 1993, j’ai été l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie été 2001 sur un individu qui prétendait être un ami du Député Maire de CANNES, Bernard BROCHAND, j’ai transmis la procédure au commissariat central de CANNES et ai demandé à l’OPJ de permanence que cette personne fasse l’objet d’une audition immédiate car les faits déclarés étaient d’une gravité extrême et mettaient en cause des notables de la ville, de plus le témoin de ces faits criminels, une jeune fille d’origine maghrébine, qui faisait partie des orphelins d’auteuil se sentait véritablement menacée par la gravité de cette histoire qui n’a eu à ma connaissance aucune suite judiciaire pour le moment pour leurs auteurs mais des conséquences sociales majeures et catastrophiques probantes pour le policier et le père de famille que je suis et qui les a dénoncés.


Curieusement peu de temps après, ma personne et ma fonction professionnelle sont mis en cause dans une affaire judiciaire qui a tenté de me détruire socialement et dont les dommages et intérêts demandés actuellement à la ville de CANNES représentée par son Député Maire Monsieur Bernard BROCHAND devant le TA de NICE sont de 1000000 d’Euros pour les raisons suivantes qui sont à mon sens incontestablement avérées :



Harcèlement moral (art 222-33-3 du CP)



Violation de la correspondance (art 226-15 du CP).



Violation du secret professionnel (art 226-13 du CP).



Coalition de fonctionnaires en vertu des Art. 233 à 236, 260 du Code pénal,




mais également et surtout pour discrimination sociale (art 225-1 à 225-4 du CP) par le refus de ma réintégration professionnelle et par l’émission de fausses fiches de paie pendant des années car je n’ai plus jamais pu reprendre aucune activité sociale depuis les faits évoqués en 2001 grâce à la complicité des autorités administratives de tutelle.


De fait, malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE ainsi que la commission de discipline dirigée par Gil CORNEVAUX concernant ma présomption d’innocence dans cette cabale judiciaire et politique montée de toute pièce afin de me discréditer socialement, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis depuis cette date de fausses fiches de paye à temps complet en toute impunité car il n’est pas au dessus de la loi, il représente une forme de loi, celle de l’argent, car seule son influence sociale et économique au sein du gouvernement lui permette de ne pas s’y soustraire ouvertement et sans complexe, c’est d’ailleurs régulièrement la valse des hauts fonctionnaires d’Etat.


Mon avocat , Maître VALLIERGUE, le nouveau bâtonnier dédié du TGI de GRASSE, qui défendait mes intérêts dans cette coalition a signé par hasard et non par intérêt une injonction thérapeutique contre ma personne pour me faire interner, l’expert commis le Professeur ROURE m’a déclaré sain d’esprit le 17 Mai 2002 en précisant les faits suivants :




Art 1 : « L’examen du sujet ne relève pas chez lui d’anomalie psychique ou mentale .»




Art 2 : « Les faits reprochés au sujet n’est en relation avec aucune anomalie mentale ou psychique .»




Alors pourquoi est-ce que la justice voulait elle me faire passer pour fou par le biais de mon avocat ?




Tout simplement, afin de discréditer un Policier qui dénonce une affaire de PEDOPHILIE.


Le Professeur ROURE m’a demandé les raisons pour lesquelles je me trouvais là et que la seule explication possible était purement politique, je lui ai rétorqué de s’adresser à Mr DOUMAS, procureur, devenu procureur général pour ses qualités et aptitudes morales exceptionnelles en matière de classement vertical. Je tiens à vous préciser également que Maître Valliergue est l’avocat de René LEPORC, l’éditeur de Michèle MERCIER et également mon éditeur qui est un escroc condamné à 18 mois de prison ferme et 150000 euros d’amende et qui publie à la FNAC.COM mon livre « Le serment d’hypocrite » depuis 1998 sans me payer mes droits d’auteur et fait l’objet d’une plainte pour escroquerie et violation du CPI auprès du Procureur de la République du TGI de GRASSE des AM qui n’y prête jusqu’à présent aucune attention et ne me répond même pas alors qu’il y a eu une violation de mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI) et que ces infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).





J’ai d’ailleurs dénoncé ces faits depuis des années à l’ensemble de la chaîne judiciaire et administrative mais pas exclusivement car le devoir de réserve ne peut s’appliquer communément aux personnes victimes de harcèlement et de discriminations sociales avérées pendant plusieurs années dans l’indifférence ou la complicité générale du pouvoir politique, administratif et judiciaire Français qui positionne le citoyen face à ses devoirs mais n’assure apparemment plus ses droits et a permis par son laxisme l’extradition de Monsieur LEPORC alias RENE DELERINS au Vietnam où son homonyme détient la compagnie maritime the Boy’s Maritime Compagnyqui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS.


Le maire a émis un arrêté de radiation des cadres le 12/10/06, j’ai formulé une requête en annulation contre ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission.


J’ai saisi le juge des référés de la quatrième chambre du TA de NICE qui a rejeté ma requête en usant comme argumentation qu’il n’y avait pas urgence sans évoquer une seule fois le vice de procédure incontestable qu’il aurait pu dénoncer.


Mais de qui se moque t’on ? La police s’est fourvoyée, la justice s’est égarée, l’administration fait l’autruche !


La quatrième chambre du TA de NICE a été dessaisie pour des raisons inconnues au profit de la septième chambre qui traite désormais (entre autres dossiers singuliers me concernant ) avec la troisième chambre le dossier suivant :


0605808 : Requête en annulation déposée le 13/11/2006 contre l’arrêté de radiation 12/10/06 émis par le Maire de CANNES, il est nécessaire de préciser sans vouloir interférer dans le processus judiciaire :


- que je bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 alors que des fonctionnaires qui ont des casiers judiciaires pour des condamnations plus graves sont restés en fonction.


- que je bénéficie de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 car l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.


- que l’ensemble de mes fiches de paie sont fausses depuis le 26/11/01, le grade, l’échelon, la date d’entrée, la fonction, le temps de travail à temps complet alors que l’on me refuse de travailler depuis 2001, la position de paie actuelle est la suivante « titulaire invalidité » ce qui est totalement faux et m’empêche de présenter mes bulletins de salaire pour trouver un logement car avec l’aide des banques et du receveur percepteur municipal qui m’a payé pendant sept ans avec une ou deux semaines de retard, j’ai perdu mon logement, je suis hébergé et ma situation sociale est devenue catastrophique, etc…


- L'article L.781-1 alinéa 1er du Code de l'organisation judiciaire précise les faits suivants :, "l'État est tenu de réparer le dommage causé par le fonctionnement défectueux du service de la justice. Cette responsabilité n'est engagée que par une faute lourde ou un déni de justice".


Le délit constaté est donc été le déni par l’ensemble des autorités administratives et judiciaires de mon droit à la réintégration sociale en vertu de la décision du 15 Mai 2002 du TA de NICE qui a refusé ma radiation des cadres en application de la loi du 15 Juin 2000 sur la présomption d’innocence dont je n’ai jamais pu bénéficier, mes plaintes sont donc restées jusqu’à présent sans réponses ni effets sur ma situation sociale particulièrement dégradante car lorsque l’on prive un individu de son droit élémentaire au travail par le refus de sa réintégration , on le prive systématiquement de toute dignité humaine et de tout respect de la part de nombreux citoyens.




Cette situation de stress permanente a engendré des problèmes de santé graves qui peuvent être


prouvés par des certificats médicaux des spécialistes concernés.



Je tiens également à vous tenir informer sur la position de pouvoir excessif et de partialité prise désormais par le Tribunal Administratif de NICE par le biais d’une lettre recommandée en date du 11/03/09 envoyée par Monsieur le Président Patrice BLANC qui soulève désormais un Moyen d’Ordre Publique et tend à rendre irrecevable tous les moyens de défense enregistrés plus de deux mois après la saisine du Tribunal.


Les Moyens d’Ordre Public relevant de la légalité interne sont liés principalement à la méconnaissance du champ d’application de la loi de certaines pièces du dossier et non à l’intégralité de ces dernières à une date antérieure à l’enregistrement de celles qui permettent de mettre en évidence un vice de procédure déterminé par un décret du Journal Officiel du 27/10/84 ou une décision du Tribunal Administratif de Nice prise en session le 15/05/02.


Vous comprendrez aisément que cette décision nouvelle qui n’a jamais été appliquée dans mon dossier mais aurait pu et même aurait donc du être soulevée logiquement par les juges des référés saisis dans cette affaire concernant :




- L’ordonnance du 17/01/08 pour le référé suspension du dossier N°0706890-94 émise par le juge des référés B. PARISOT qui n’a soulevé aucun MOP,


- L’ordonnance du 05/02/09 pour le référé provision du dossier N°0806724-97 émise par le juge des référés et Président du Tribunal Administratif de NICE, Monsieur Francis MALLOL qui n’a soulevé aucun MOP,


démontrent que le tribunal administratif de NICE a utilisé mes mémoires en défense jusqu’au 05/02/09 et tient à les rendre désormais irrecevables afin de m’empêcher de faire appel et de reconnaître la responsabilité de la commune dans cette affaire car il existe de toute façon une violation manifeste de mes droits à la défense dénoncée dans mes mémoires en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui casse l’arrêté de radiation du 10/10/06 pour vice de forme car le délai minimum entre la tenue de la CAP et l’émission de l’arrêté de radiation n’a pas été respecté mais aussi une volonté d’exclusion sociale car la décision du 15/05/02 du TA de NICE n’a jamais été appliquée par le Maire de CANNES qui m’a exclu volontairement de toute vie professionnelle depuis cette date.


Je suis en arrêt de travail depuis plusieurs mois pour dépression même si je ne travaille plus depuis 2001 car je suis victime d’un harcèlement social et financier permanent, même le Conseil Général refuse actuellement de me verser le RMI et me réclame paradoxalement un indu de paiement abusif de 686.66 euros par le titre exécutoire N°10690, parallèlement le receveur percepteur municipal me réclame la somme de 5336.07 euros totalement injustifiée par le titre exécutoire N°557 que je conteste également auprès du TA qui appréciera le machiavélisme de l’administration qui s’acharne sur ma famille alors que je perçois seulement 700 euros environ du receveur percepteur municipal pour vivre chaque mois sans tenir compte de mon échelon, de mon grade et de mon ancienneté au sein du service.


Je vous précise également que ma dernière note administrative légale de 2000 est de 18.50 /20 en raison de mes aptitudes professionnelles, de l’obtention de mon diplôme de formateur de police auprès du CNFPT mais aussi pour l’informatisation du service, etc.…


Je suis inscrit comme demandeur d’emploi à l’ANPE depuis 2006 pour percevoir un traitement de la mairie qui avait suspendu mon salaire malgré ma requête en annulation mais je ne dépends pas du régime général mais du régime des fonctionnaires qui me ferait commettre un délit si je travaillais alors que le TA de NICE doit me réintégrer dans mes fonctions sociales devant un vice de forme incontestable. Je suis donc un faux demandeur d’emploi si je tiens à ne pas perdre mes quinze années d’ancienneté dans l’administration.


Je ne dénonce rien, je subis une situation sociale intolérable d’exclusion qui perdure sans fin et semble s’éterniser au TA de NICE afin d’user ma patience et mon courage et dont les membres de ma famille sont également les victimes de façon indirecte car l’état de droit n’existe plus dans ce pays quand certains élus en ont les moyens, d’ailleurs j’ai alerté tous les avocats du barreau de GRASSE et de NICE et aucun ne veut me défendre dès que je prononce le nom du Maire de CANNES car ils y associent encore son frère et les réseaux d’influence acquis par ces deux représentants de l’Etat au sein de certaines corporations puissantes que sont la Police et la Justice.


Cette misérable affaire remet en cause le fonctionnement et l’indépendance des institutions de la République Française dont vous êtes désormais le dernier garant en raison de l’absence de réponse probante des autorités judiciaires de surveillance et de contrôle des agissements du Député Maire de la ville de CANNES qui a violé et viole encore la loi délibérément tous les mois depuis des années sans être inquiété par personne.


Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, Mesdames ou Messieurs les élus locaux, à l’assurance de ma considération distinguée et en ma déception accentuée de la valeur de nos institutions sauf peut-être mais avec de nombreuses réserves pour la médecine qui doit nécessairement tenter de conserver une indépendance d’action et de pensée qui permet aux différences culturelles, intellectuelles et morales de se mélanger afin d’obtenir une mixité d’idées nécessaire à un foisonnement intellectuel permanent qui sauvera l’humanité de son ignorance et de sa perfidie.




VERDI Patrice




PS : Aucun élu ne pourra prétendre maintenant qu’il ne savait pas ce qui se trame à CANNES !


PS1 : L’ancien premier ministre Dominique de VILLEPIN a déclaré publiquement : « la Justice peut être instrumentalisée », nous pouvons facilement envisager une extrapolation probable de ses paroles à l’ensemble des rouages publiques qui en dépendent dans une démocratie qui se transforme progressivement en un impérialisme du capital où l’individu devient un consommable par l’abandon progressif et tangible de toute forme d’humanité comme valeur morale essentielle de notre survie.


PS2 : Je suis devenu « Ennemi d’état » car je dénonce un système mafieux qui a jumelé à mon sens CANNES avec la mafia, les services secrets Français et Etrangers mais avant tout avec cette merveilleuse ville de THEOULE sur MER dont le suicide d’André Charles BLANC arrange bien des personnes qui le connaissaient très bien et se retrouvent par hasard être devenus les bras droits du Maire de CANNES quel que soit la qualité de leur casier judiciaire alors même qu’ils étaient auparavant les amis proches de Michel MOUILLOT qui est tant décrié avec force et conviction par le Maire de CANNES actuel qui n’a certainement pas de miroir chez lui.


PS3 : La ville de CANNES devrait finalement être jumelée avec VICHY, ce serait moins hypocrite de la part des autorités Françaises qui entretiennent un climat de suspicion et de culpabilité généralisées alors que la niche fiscale du pays pourrait rapporter 75 millards d’euros par an à des fins de justice sociale même si le quotient familial en fait déjà parti ce qui représente bien entendu l’arbre qui cache la forêt.

source:
http://nonprevu.kazeo.com/pedophilie-a-cannes,a748090.html

CANNES : CABALE de l’UMP contre un Policier ANTIPEDOPHILE (Patrice Verdi)


Monsieur VERDI Patrice Cannes le 06/06/11

à


Monsieur JOUANJUS Alain


Hôtel de Ville


BP 140


06406 Cannes Cèdex


Tél :  04 97 06 40 00
fax : 04 97 06 40 40


Email : alain.jouanjus@ville-cannes.fr






Monsieur le Secrétaire Général,


Je viens de recevoir votre courrier en date du 27/05/11 relatif à mes droits sociaux que vous stoppez arbitrairement depuis le 26/05/11 afin de me prouver la supériorité de l’exécutif sur l’ensemble de mes droits de Fonctionnaire.

Je n’ai pas besoin de vous rappeler le CGCT que vous bafouez une fois de plus avec la bénédiction certaine du nouveau préfet des AM, Monsieur DREVET, qui ne tient certainement pas à faire de vagues à CANNES.

Donc, si je résume la situation qui va être diffusée bientôt sur le NET, alors que l’ensemble de mes droits civils et civiques sont acquis officiellement depuis le 17/05/11, vous m’ôtez sans délais de la FPT, mais sur ordre de qui ?

C’est donc une première à CANNES de perdre l’intégralité de ses droits lorsqu’on les retrouve intégralement.

Je pense que vous êtes soit incompétent soit complice de cette nouvelle cabale politique de l’UMP mais aussi précédemment du RPR contre ma personne et donc ma famille pour le policier ANTIPEDOPHILE que je suis car en vertu de l’article 40 du CPP :

« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs »

Je pense que vous devriez donc dénoncer ces faits graves et non pas les appuyer par votre autorité administrative que je vais remettre en cause publiquement sans délais, car l’UMP dont vous êtes un fidèle serviteur à CANNES n’est pas au dessus des lois, ni vous non plus, vous devriez en être convaincu dorénavant.

Veuillez agréer, Monsieur, l’expression des mes salutations distinguées.


VERDI P


PS : Copies pour information aux autorités politiques, parlementaires et judiciaires.

Source : http://novusordoseclorum.discutforum.com/t6833-brigadier-chef-patrice-verdi-quand-honnetete-et-courage-ne-paient-pas-pedocriminalite-cannoise

AVoir :
Temoignage de Mr Patrice Verdi Libérez Monsieur Marcel Vervloesem!
L’affaire du Var en détail partie 1.
L’affaire du Var en détail partie 2.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire